Du 17 au 22 avril, les insoumis·es de Gironde ont organisé une « vélorution », accompagné·e·s de Marie Duret-Pujol, candidate de la France insoumise aux élections européennes, et de Loïc Prud’homme, député insoumis de Gironde.
Pourquoi parcourir la Haute-Gironde et le Médoc ?
- pour rappeler que le département ne se limite pas à la grande métropole bordelaise
- pour aller à la rencontre de celles et ceux qui se sentent souvent oublié·e·s des politiques publiques, suite aux fermetures des lignes de train, des services publics, comme la Poste, de la désertion des petits commerces au profit des grands centres commerciaux…
Symboliquement, tout le parcours a été fait à vélo, pour rappeler que l’écologie est à la base de notre projet politique (et puis le vélo, c’est convivial ! ).
En 6 jours, une centaine de kilomètres ont été effectués, avec des réunions de place, du tractage, du porte-à-porte, du boîtage. C’est aussi l’occasion de discuter de sujets qui touchent de près les habitantes et les habitants. Dans cette région viticole :
- les pesticides sont très présents
- les inégalités sont fortes entre les propriétaires des grands châteaux et les ouvrier·e·s agricoles
- la centrale nucléaire de Blaye occupe un grand espace
- les maires de ces communes ont de plus en plus de missions à assurer, sans hausse des dotations d’État.
Une fois élu·e·s au Parlement européen, nos député·e·s s’engagent à lutter contre les inégalités, à défendre l’écologie, à préserver nos services publics, à rompre avec le dumping fiscal et social, qui met en concurrence les travailleuses et les travailleurs de toute l’Europe.
Chaque voix compte. Et les initiateur·rice·s de cette « vélorution » espèrent bien avoir convaincu les différentes personnes qu’ils et elles ont croisé pendant leur périple.
Le 26 mai, votez et faites voter pour la liste de la France insoumise !