Samedi 21 août, les caravanier·es de l’#UnionPopulaire se sont rendu·es dans les quartier de la Reyssouze à Bourg-en-Bresse, de la Croix-de-Neyrat à Clermont-Ferrand et de Valvert au Puy-en-Velay.
À Bourg-en-Bresse, la caravane s’arrête devant la bibliothèque Aimé Césaire dans le quartier de la Reyssouze. En porte-à-porte, plusieurs habitant·es étaient agréablement surpris·es de nous voir en plein été en cette période de vacances. Yves, 48 ans, s’interroge sur les conséquences de la future réformes des retraites. Il nous dit être également préoccupé par la réforme de l’assurance chômage dont sa femme est bénéficiaire. Comme beaucoup d’autres habitant·es, Yves est très mécontent des réformes de Macron qui le choquent particulièrement : « Il avait pas dit qu’il ferait ça. En politique, on ne devrait pas mentir. Moi je comprends qu’il y ait beaucoup de rejet quand on voit ce qu’il nous font. »
À Clermont-Ferrand, nous retrouvons les militant·es devant le centre-commercial de la Croix-de-Neyrat. À quelques pas de là, un immeuble, rue des Hauts de Chanturgue, a connu un incendie en mai. Depuis, aucun travaux. Nombreux·ses sont les habitant·es à exiger un investissement de l’État. En porte-à-porte Yohan s’inscrit pour la première fois sur les listes électorales. En 2017, il n’avait pas pu voter même s’il avait découvert Jean-Luc Mélenchon et avait été convaincu par le programme l’Avenir en Commun, notamment sur la répartition des richesses. Il profite de l’occasion du passage de la caravane pour s’inscrire, « Cette fois-ci, ma voix ne manquera pas ! ».
Au Puy-en-Velay, les caravanier·es installent le stand de l’Union Populaire sous le doux soleil du quartier Valvert. Lors du porte-à-porte, nous rencontrons Magalie, électrice insoumise de la première heure, qui n’avait jamais encore eu l’occasion de discuter avec des militant·es politiques dans son quartier. Ni une, ni deux : elle prend des tracts pour aller en distribuer à ses voisin·es. C’est décidé, elle viendra à la prochaine réunion pour s’engager dans l’action, car elle a envie de faire gagner les idées de l’Avenir en Commun. Nous rencontrons aussi quelques habitant·es qui nous parlent de la précarité énergétique de leur logement. En France, 1 personne sur 5 est en situation de précarité énergétique. À la France insoumise, nous prônons un plan d’investissement de 100 000 milliards avec notamment l’isolation thermique, mais aussi l’instauration de la gratuité de l’accès à une quantité d’eau, de gaz et d’électricité indispensable à une vie digne.
On se retrouve demain pour un compte rendu des étapes à Annecy, Thiers et Florac.