D’aucuns, plus spécialement vigilants, ont noté ma remarque à propos des protéines animales et de la nécessité d’y recourir beaucoup moins pour l’alimentation humaine. Comme la réponse venait après une question sur ce que « pouvait faire la gauche radicale dans l’agriculture » et que cela parut étrange en tout et pour tout, je reviens sur le sujet car il est de ceux qui m’importent davantage qu’il y paraît. Je n’aime pas être étiqueté « gauche radicale », qui ne correspond pas à ce que je suis, ni le très grand nombre de ceux qui se reconnaissent dans mon porte parolat. Mais puisque je comprenais la question au-delà de l’étiquette dont je me trouvais affublé, j’ai décidé de répondre au fond.