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VIDÉO – Éradiquer le terrorisme islamiste, c’est possible

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Le 18 octobre 2020, Jean-Luc Mélenchon était l’invité d’Adrien Gindre après avoir participé au rassemblement d’hommage à Samuel Paty, professeur d’Histoire-Géographie assassiné par un terroriste islamiste à Conflans-Sainte-Honorine.

Le président du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale a expliqué que l’objectif du terrorisme islamiste était de faire peur et de diviser les Français en fonction de leur religion. Il a appelé à mettre en échec ce double objectif et a dit que c’était le sens des rassemblements qui se tenaient partout en France ce 18 octobre.

Jean-Luc Mélenchon a également appelé à frapper de manière précise et efficace le terrorisme islamiste, pointant notamment la responsabilité de la communauté tchétchène dans les évènements récents. Il a expliqué qu’il fallait retrouver et expulser tous les tchétchènes qui dévoilaient un islamisme politique sur les réseaux sociaux. Il a répété sa proposition d’utiliser la police à bon escient en mettant les moyens là où ils étaient nécessaires, à commencer par le renseignement.

Le député insoumis a rappelé son engagement sans faille contre l’islamisme politique et contre toute immixtion de la religion en politique. Il a appelé à renforcer la laïcité en ne tolérant aucune exception sur le sujet. Il a également parlé des moyens de développer ce sujet à l’école et a dit qu’il fallait faire confiance aux enseignants pour trouver les méthodes justes pour le faire.

La suite de l’interview portait sur les nouvelles mesures mises en place pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, et notamment du couvre-feu. Jean-Luc Mélenchon a expliqué que cette mesure manquait les principaux clusters qui sont les entreprises, les écoles et les université. Il a aussi questionné l’efficacité du gouvernement pour faire face à la crise sanitaire compte tenu des changements d’avis incessants sur les masques et les tests, mais aussi compte tenu du fait que les surblouses manquent toujours, que les respirateurs manquent toujours et que les lits d’hôpitaux sont moins nombreux que pendant la première vague du coronavirus.

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