Mercredi 3 novembre, la caravane de l’Union Populaire s’est installée au pied des nombreux immeubles du quartier de La Source à Orléans. Karin Fischer, conseillère régionale du Centre-Val de Loire, était accompagnée d’une trentaine de militant·es venu·es du département pour échanger sur les propositions de l’Avenir en commun avec les habitant·es.
En porte-à-porte, l’accueil est, comme toujours, très chaleureux ! Nous rencontrons Inaya, 33 ans, qui s’exclame, sans même que nous ayons eu le temps de la saluer : « Ah, c’est Mélenchon ! Mais j’adore ! Je voterai pour lui, c’est bon ! » C’est la première élection présidentielle à laquelle elle ira voter : « J’ai reçu ma carte d’électrice aux dernières élections, mais je n’y étais pas allée. Je vais convaincre tout le monde d’aller voter comme moi, pour lui ! » Elle accepte volontiers de devenir correspondante d’immeuble. Inaya descendra plus tard au stand afin de rencontrer les militant·es et les reverra à leur prochaine réunion !
Nous frappons à la porte de Ted. À 49 ans, il connaît bien Mélenchon : « Oui je suis intéressé par ce qu’il dit. C’est dommage qu’on ne le voit pas assez à la télé. ». Ted est curieux de nos propositions sur l’Union Européenne. Les militant·es lui expliquent que nous appliquerons notre programme quitte à désobéir aux traités européens. Les directives européennes sont responsables d’un grand nombre de privatisations (autoroutes, chemin de fer, ADP…) et de la casse de notre système social. Ted souhaite signer sur melenchon2022.fr afin d’être averti des prochaines actualités de notre candidat !
Quelques portes plus tard nous rencontrons Marie-Bérénice. Elle est retraitée et ravie de nous voir : « C’est la première fois que des gens viennent ici pour parler politique ! Vous faites ça bénévolement en plus ? Bravo ! » Nous échangeons avec elle : « Qu’est-ce qui pourrait améliorer mon quotidien ? Une meilleure retraite parce que là, je touche une pension de misère ! » Nous lui détaillons nos propositions et lui déclarons qu’une fois au pouvoir, nous ferons en sorte qu’aucune personne ne vive sous le seuil de pauvreté. Réjouie, elle nous demande si cela s’appliquera pour tout le monde, notamment les personnes sans domicile fixe : « Macron, élu, avait dit qu’il n’y aurait plus une seule personnes qui dormirait dans la rue. Il n’a rien fait pour eux… Pire, avec sa politique, il y en a de plus en plus. C’est pas normal dans notre pays. »
Jeudi 4 novembre, la caravane fera étape à Auxerre !