« Telle la cigale vous avez chanté tout l’été, et soudain… confinement ! »

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« Oui, nous serons prêts. » C’est le président de la République qui s’exprimait ainsi, le 14 juillet : « Nous serons pour la deuxième vague, cela a été préparé sous l’autorité du Premier ministre. » Le ministre de l’Education approuvait, en Dupont « T » : « Nous sommes préparés à tout », et sa Dupond « D » en charge de l’enseignement supérieur : « Les établissements sont prêts. »

Sans compter le La Palisse qui nous sert de Premier ministre, qui en septembre préconisait de « nous laver régulièrement les mains », qui ce samedi encore recommandait : « Le meilleur moyen de soulager l’hôpital, c’est de ne pas tomber malade. »

Tout allait bien, Madame la marquise.
Et soudain, rebelote. Les hôpitaux pleins. Le manque de lits. La pénurie de soignants, de gants et qui sait, de médicaments, le couvre-feu, l’Etat d’urgence, les ordonnances.
Et bientôt, ce vendredi, le re-confinement.
L’hibernation avant l’hiver.
La police en première ligne, à nouveau, à délivrer des amendes de 135 €, 6 mois de prison après trois infractions…
« Des restrictions de libertés inédites en temps de paix », pointe le président du Comité des Droits de l’Homme.

Le discours de François Ruffin est à voir et à lire en intégralité sur son internet.

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