Communiqué du groupe LFI-NUPES

M. le ministre chargé des relations avec le parlement a annoncé ce matin que le projet de loi sur la fin de vie serait débattu au parlement en 2024.

D’abord annoncé avant la fin de l’été, le voilà encore repoussé.

Pourtant il a déjà fait l’objet d’un travail trans-partisan de co-construction depuis de nombreux mois.

Cette décision n’est pas sérieuse tant le sujet de la fin de vie est capital.

Les Françaises et les Français , par la Convention citoyenne sur la fin de vie, ont exprimé on ne peut plus clairement leur volonté de voir les conditions de prise en charge de la fin de vie devenir une priorité nationale.

L’agenda parlementaire ne peut être dicté par le Président de la République, d’autant plus lorsque la solution se fait attendre depuis bien trop longtemps.

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